Ces vacances aux États-unis ont été fatales pour mes cuisses : j’ai mangé presque tout le temps et évidemment pas que du light. D’ailleurs, je me demande comment je ferais pour garder la ligne si j’habitais là-bas : tout est prévu pour consommer toujours plus. Les serveurs qui vous remplissent le verre dès qu’il se vide, les portions gargantuesques, les gâteaux crémeux-chimiques.
J’ai la réputation d’être un estomac sans fond mais j’avoue qu’à la fin du séjour, je saturais presque. N’empêche, en regardant les photos de cet article, mon estomac est tout de même nostalgique.
These USA vacations were fatal to my thighs: I ate all the time, and, of course, it wasn’t all light. And I’m actually wondering how I would manage to keep my weight from skyrocketing if I lived there: everything is calculated for you to be always consuming more. Waiters that fill your glass everytime it empties, huge portions, creamy-chemical cakes.
I have the reputation of having a bottomless stomach, but I have to admit at the end of the stay, I was almost reaching my limit. Nevertheless, looking at the pictures in this post, my stomach is feeling a bit nostalgic.
LORI’S DINER (336 Mason Street, SAN FRANCISCO, CA) : Il existe plusieurs enseignes à San Francisco. J’ai choisi de tester celle de Mason Street car je me trouvais le plus près de celle-ci (paresse, tout ça…). Apparemment, c’est le tout premier de la chaîne à avoir ouvert à San Francisco.
L’idée était de retrouver l’atmosphère d’un resto des années 50, concept qui fait maintenant des émules. Je me suis surtout déplacée pour le lieu mais la nourriture vaut quand même le déplacement.
There are a number of those in San Francisco. I chose to test the one on Mason Street because because it was the closest to where we were staying (laziness, what can I say…). Apparently, it’s the very first of the franchise to have opened in San Francisco.
The idea was to get a 50s diner vibe, a pretty popular concept nowadays. I mostly went to see the place, but the food was worth it.
Lorsque le Club House de mon cher et tendre est arrivé avec ses 3 étages à la dinde, jambon, tomate, bacon et salade (multipliés par 2), j’ai pris peur. La peur de « l’étouffe chrétien », vous voyez ? Mais que nenni. Une des rares fois (sinon la seule) où je goûte un club sandwich qui ne vous donne pas envie d’abandonner au bout de la 3ème bouchée tellement il est sec et bourratif. Ici, tout est bien équilibré (si je peux m’exprimer ainsi) et ça cale sans peser.
When the Club House of my S.O. arrived with its 3 layers of turkey, ham, tomato, bacon and salad (times 2) I was a bit scared. It looked stodgy, you know? But not at all. It was one of the only times I tasted a club sandwich that didn’t make you want to give up by the third bite, they’re usually so dry and heavy. Here, it’s all very balanced (if I may put it that way), and it’s filling without being too heavy.
Pour ce qui est du Lori’s signature burger (steak, bacon, oignons caramélisés au vinaigre balsamique, fromage), presque même verdict. Très bon et juteux mais je ne pousserai pas le vice en disant que ça cale sans peser. Un pèse-personne est même prévu à la sortie pour la tribu des angoissés, pèse-personne que je n’ai pas utilisé (je fais partie de la tribu des « autruches »).
As for Lori’s signature burger (steak, bacon, onions caramelized in balsamic vinegar, cheese), it’s almost the same verdict. Very good and juicy, but I wouldn’t go as far as saying it’s filling but not heavy. A bathroom scale has even been set near the exit for the tribe of the anxious, scale that I didn’t step on (I’m with the tribe of those in denial).
KAT’Z BAGELS (3147 16th Street, SAN FRANCISCO, CA) : Adresse découverte par hasard lors d’une balade à Mission District. Je n’ai jamais été une fan des bagels (c’est juste un pain troué non ?…donc il y a moins à manger !) et ce restaurant m’a fait changer d’avis.
A place discovered randomly during a walk in Mission District. I was never a fan of bagels (it’s just bread with a hole in it right?…so there’s less to eat!) and there I changed my mind.
Le bagel est préparé et cuit sur place. On a le choix entre plusieurs pains : nature, sésame, à l’ail… etc. Puis différentes garnitures. J’avais choisi le bagel à l’ail garni d’oeuf, tomates, mozzarella et basilic. Tout chaud, toasté à point : un régal.
The bagel is prepared and baked on the spot. You choose between different types of bread: plain, sesame, garlic…etc. and then between various toppings. I chose the garlic bagel with egg, tomato, mozzarella and basil. Warm, perfectly toasted: delicious.
On peut également choisir de le prendre à emporter. Mais le déguster sur place a aussi son charme.
You can even take it to go. But having it onsite has a charm of its own.
SUZU NOODLE HOUSE (1825 Post Street (Kinokuniya Building, Japantown) SAN FRANCISCO, CA) : Pas du tout typique mais comme je vous l’ai dit, j’ai beaucoup erré à Japan Town où vous pouvez vous laisser tenter par de multiples gourmandises asiatiques : bubble tea, pâtisseries, crêpes japonaises, beignets… Vous avez l’embarras du choix !
Cette adresse m’a été recommandé par une passante japonaise qui connaît bien le quartier et je n’ai pas été déçue.
Not at all typical, but as I told you, I roamed about Japan Town quite a bit, where you can be tempted by numerous asian treats: bubble tea, pastries, japanese crêpes, fritters….you’re pretty much spoiled for choice!
This address was a recommendation of a japanese passerby who knows the area well, and I wasn’t at all disappointed.
Le nabeyaki udon servi dans sa marmite était délicieux. The nabeyaki udon served in its pan was delicious.
Le curry rice au poulet frit également. Une adresse pour ceux qui cherchent l’exotisme à San Francisco.
As was the rice curry with fried chicken. A great place for those that are looking for a touch of exotism in San Francisco. (English translation by Bleu Marine)